Michaële Andréa SCHATT
Jardins de traverse
Galerie Isabelle Gounod, Paris, 2014
..."Puis le jardin réapparait, complètement transposé, en peinture grand-format et en couleurs. Cadrage large, gestes amples, tons fauves, surimpressions, zooms, et plans séquences. On pénètre dans une forêt. Une forêt primitive. On ne voit personne mais on pressent tout un monde invisible: des esprits, des fantômes d'ancêtres, des survivances et des métamorphoses. Il règne un silence étrange traversé par des éclats, de soudaines stridences. "...
Celia Houdart, mai 2014